17 décembre 2006
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Je m'approche de toi et, dans ton regard, je peux lire ce mélange de pudeur et de provocation, cette osmose de romantisme et de passion, que je retrouve dans nos jeux de l'amour. Quand ma main remonte le long de tes jambes fuselées, gainées de bas noirs en soie; quand elle arrive en haut de tes cuisses, joue un instant entre tissu et peau, et que j'enfonce doucement, très doucement, mes doigts dans ta toison soyeuse... Quand de l'autre main, je caresse tes cheveux en bataille tandis que ma bouche parcours tes lèvres et ton cou, tes vêtements glissent et s'éparpillent; instants d'effeuillement d'une fleur. Douceur de ta peau, de ton corps à moitié dénudé. Quand je sens sous mes doigts et ma langue la moiteur de ton fourreau rose et humide et qu'ensuite je glisse mon épieu dans sa chaleur, dans la douceur de ce que tu appelles "ton petit con délicat" où je me plonge avec délectation, pour en ressortir quelques instants plus tard pour honorer ton ... "autre intimité" que tu m'offres impudiquement et que j'entends chanter à mes oreilles la gamme de tes petits cris de jouissance, allant crescendo jusqu'au paroxysme du plaisir, ton corps vibre, ne fait plus qu'un avec le mien, dans cette union charnelle qui nous entraîne au bout de la nuit. |