Ben oui ! Il faut qu'OBAMA passe. Il faut qu'il devienne Président de cette « belle » Amérique, pour prouver que celle-ci ... ne changera pas !
Car, et que l'on ne s'y trompe pas, il n'y a pas de différence fondamentale entre Mc CAIN et OBAMA. Ils sont avant tout, simplement, tristement, américains ; ce sont les mêmes. La seule différence est leur couleur de peau. Et même sur ce plan, s'il passe, certains « blancs » trouveront même à redire que s'il en est arrivé là, c'est parce qu'il a été élevé comme un blanc par des blancs. Ouuuuups ! S' il n'est pas élu, il va passer pour un martyr, et le monde entier va crier au racisme. Car le fameux concept de melting-pot n'a jamais marché dans ce pays, au point qu'ils en sont venus depuis des années à parler de « majorité de minorités ».
Passons sur Mc CAIN, le clone du clown BUSH ; qu'en est-il de la politique d'OBAMA ? |
Quand ce que le monde entier à pudiquement appelé « la crise », et le plan de sauvetage des banques américaines d'un montant de 700 milliards de dollars qui en a découlé, le plan en question a été accepté par Mc CAIN et OBAMA, avant que la chambre des représentants ne l'approuve quelques jours plus tard, après l'avoir rejeté dans un premier temps. | ![]() |
Et il faut dire qu'en politique étrangère, il est aussi « bien » entouré : son colistier Joe BIDEN, était un ardent « va-t-en guerre » notamment en Irak. Son nouvel ami, Colin POWELL à sciemment menti devant le Conseil de Sécurité de l' ONU sur les pseudo-armes de destruction massive qui ont conduit à la guerre en Irak, à la gabegie que ce pays subit en ce moment, et au plus d'un million de civils morts dans ce conflit. |
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Aussi, même si sur le plan social, il sera plus utile aux américains que ne le serait Mc CAIN, il est presque sûr au moins, qu'il ne sera pas aussi stupide que BUSH. C'est déjà ça. | ![]() |
Alors que les américains l'élisent, ne serait-ce que « pour voir », comme au poker, à l'instar de l'avènement des socialistes en France dans les années 80, et que l'on se rende compte qu'il n'est que le pendant de systèmes qui « ne changent pas la vie » mais qui prennent simplement des places, parce que celles-ci « sont bonnes à prendre ». |