The RUNAWAYS |
Cherry Bomb | Queens Of Noise
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C’est après la dissolution du groupe que Joan Jett trouvera la consécration avec « I love rock’ n’ roll » une reprise du groupe The Arrows. Voir ci-contre | I love rock’n’roll |
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Fais-moi mal Johnny
| La complainte du progrès
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Ben oui, je sais : Jean FERRAT (!?) Et alors ... ... j’y peux rien s’il a fait là un des plus beaux hommages à Boris VIAN ! | Pauvre Boris
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| Fever
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Mon amie la rose
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Une magnifique interprétation du tube de Françoise HARDY …
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… et quand on parle de la louve : |
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Le temps de l'amour
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Et comme l’une ne va pas sans l’autre … |
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Mais je n’ai pas trouvé mes préférées: « La ballade du bon et des méchants » et « Merde in France » | Et moi et moi et moi
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Attention : paroles à ne pas laisser entre toutes les oreilles ! |
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Comprend qui peut
| Framboise
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| Rencontres
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| Angie
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A quoi ça sert l’amour
| Milord
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Le fanion de la légion
Voir ci-contre au sujet de la chanson : Le fanion de la Légion | Le Fanion de la Légion est une chanson française écrite en 1936 par Raymond Asso (un ancien légionnaire), sur une musique de Marguerite Monnot et chantée par Marie Dubas. Elle a ensuite été reprise Édith Piaf en 1937. Cette chanson ressemble, dans son origine et son interprétation au fameux Mon légionnaire du même compositeur, Asso, qui était aussi l'amant de Piaf à la fin des années 30. Néanmoins, si dans Mon légionnaire la Légion étrangère est dépeinte au travers des yeux romantiques d'une femme idéalisant son amant au képi blanc, dans Le fanion de la Légion, c'est l'Institution qui est le sujet central. La chanson glorifie le fanion de l'unité, défendu par trente légionnaires dans un fortin perdu du Sahara. Paradoxalement, la Légion n'a jamais adopté cette chanson qui lui était dédiée alors qu'elle a fait sienne une autre chanson popularisée par Piaf, Non, je ne regrette rien. ( Source Wikipédia ) |