Vu sur le net :

"Un groupe d’officiers anonymes réclame le réarmement de la France".

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" Un groupe d’une dizaine de jeunes officiers français dénonce dans une tribune les gaspillages et coupes dans le budget de la défense, qui devrait au contraire selon eux être augmenté pour «réarmer» la France. "

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Tout est dit dans le titre : "officiers anonymes".

Des sales cons, oui.

Certains vont les plaindre car ils ont un "devoir de réserve" ?

Comment prétendraient-ils se battre pour la France s'ils se cachent derrière leur devoir de réserve, s'ils sont trop lâches pour au-moins se plaindre de leur problèmes à visage découvert ? Ils ont peur pour leurs carrières, pour leurs retraites ?

A l'image de sa société française, cela fait des années que l'armée est en déclin ; tout le monde le sait. Eux le découvrent ?

Alors de deux choses l'une : ou ils continuent de soutenir le système pour lequel ils se sont engagés et ils ferment leurs gueules, ou ... ils prennent le pouvoir.

A l'instar d'un De Gaulle qui désertait et fuyait en Angleterre avant l'armistice du 22 juin 1940, ils viennent chialer comme des fonctionnaires alors qu'ils ont signé un engagement pour SERVIR.

Pour l'instant, ils ont l'odeur de Bigeard quand il était commandant ; comme l'écrivait Antoine ARGOUD dans "La décadence, l'imposture et la tragédie" :

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"... Par la suite, le colonel Bigeard ne tint pas les promesses du commandant Bigeard. Après avoir envisagé, en 1960, à l'heure des barricades, de marcher sur Oran, il préféra rejoindre la voie plus encombrée, mais plus sûre, de l'avancement dans le conformisme.

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On lui accorda ses étoiles de général de brigade, heureux d'être quitte d'un personnage qui aurait pu être dangereux."

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En attendant, si ces collabos du système et leurs semblables préfèrent continuer d'aller crever au Mali ( en y étant partis par obligation mais la fleur au fusil ) pour réparer les saloperies que la France a faites en Lybie en servant les intérêts démo-crasso-capitalistes, c'est leur problème. Mais qu'ils ne viennent pas geindre pour leurs plans de carrière contrariés.