«Il n’existe plus une race pure, même pas la juive. Mais justement c’est d’heureux mélanges que surgissent souvent la force et la beauté d’une nation… Je ne croirai pas que l’on puisse prouver, biologiquement prouver, qu’une race soit pure ou moins pure. … L’orgueil national n’a pas besoin en fait des délires de la race. L’antisémitisme n’existe pas en Italie.» Benito MUSSOLINI
Tel un marronnier journalistique, le concept de race revient régulièrement sur le tapis dans la bouche de nos députés qui n’ont rien d’autre à faire, tandis que le peuple crève dans la rue. Ainsi, le jeudi 12 juillet 2018, l'Assemblée nationale a supprimé à l'unanimité le mot "race" de l'article 1er de la Constitution de 1958. Enfin, suppression uniquement verbale, qui ne sera pas appliquée dans les faits, au grand dam des Hollande/Royal/Taubira (1) et Cie. |
Encore des heures de palabres, et d’énièmes effets de manches de la part de nos zélés députés, qui n’auront eu pour résultat que d’importuner le fondement des mouches en plein vol. Changement d’article qui est d’ailleurs passé inaperçu dans le grand public, car non seulement il n’a pas pu être appliqué, et d’autre part, entre le mondial de foot, le tour de France, la hausse du CAC40, le Brexit, et autres faits-divers de ce genre, la majorité des gens n’en avaient rien à faire, et une minorité ne pensaient qu’à survivre en se préparant sans le savoir à ce que le mouvement des gilets jaunes survienne. |
![]()
|
Dans une chronique du Times, Rod Liddle «en profite pour exprimer – de manière légèrement paradoxale – son aversion pour les politiques de discrimination positives : Si seulement on abolissait le concept de race ici ! Des milliers d’emplois dans la fonction publique disparaîtraient, et un bon nombre de personnes trouveraient dès lors leur vie vide de sens, privés du sentiment réconfortant d’être une éternelle victime imaginaire.”» |
Et ce vide n’est pas près d’arriver en France dans la vie d’Assa Traoré. Sa vie est bien remplie de ce sentiment victimaire. Son frère Adama ayant eu la bonne idée de mourir suite à une maladie cardio-respiratoire - à l’instar de clément Méric victime de son inconscience suicidaire -, sa sœur a décidé de faire payer la gendarmerie. Elle qui ne peut se lever tous les matins qu’en bénissant son frère Adama Traoré, dont la mort est tombée à point ; ce qui lui a permis de pouvoir donner un prétexte à sa vie et ainsi lui assurer de confortables subsides. |
![]()
|
Pour des descendants maliens de l’ethnie soninké qui était - ne l’oublions pas - esclavagistes, c’est une sacrée aubaine pour Enfin, pour Assa Traoré, on parle ici de son DEMI-frère hein ! Vu que son père s’est marié quatre fois et a eu dix-sept frères et sœurs et vivait de façon polygame dans ce beau pays aux merveill-euses allocations familiales, à Beaumont-sur-Oise qui a vu, malgré la naissance de Pierre Pucheu - ach so ; soufenirs soufenirs ! -, l’arrivée d’une partie des 100 000 malins-maliens installés de façon régulière en France, tandis que depuis 2013 la France perdait 55 militaires au Mali (2). Il faut dire qu’en travaillant avec la Fondation OPEJ - Baron Edmond de Rothschild (appelée Œuvre de protection des enfants Juifs jusqu'en 2012), elle avait été à la bonne école de la pleurnicherie mondialisée. Et cela continue … ses soutiens vont de La France Insoumise à Omar Sy et Yannick Noah, en passant par la visqueuse Esther Benbassa. Grâce à ce beau monde qui ne vit pas toujours en France et/ou ne paient pas leurs impôts, mais qui sont les premiers à donner des leçons de civisme, on assiste depuis des années à des attaques en règle contre nos coutumes, nos traditions, notre mode de vie. De l’écriture inclusive à l’antiracisme forcené, on est dans la grande partouze des minorités agissantes, téléguidées par des mondialistes comme Soros qui a injecté plus de 32 milliards de dollars dans des centaines d’ONG européennes depuis 1984, et dont Niger Innis disait de lui au sujet des «Black Lives Matter» : «Suivez l’argent et je soupçonne que vous allez trouver la Fondation Open Society et les empreintes digitales de George Soros», «Cet homme aurait dû être expulsé il y a plusieurs décennies. Il est la destruction de notre civilisation et un danger clair et présent pour notre pays». Un rapport accablant du Centre Européen pour le Droit et la Justice (ECLJ) dirigé par Gregor Puppinck, a quand à lui démontré la mainmise du réseau du milliardaire George Soros, sur la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH), qui impose à l'Europe son idéologie de la “société ouverte” : L'Autriche, la Grèce et l'Italie sont forcées de légaliser les unions homosexuelles ; la Pologne est sommée de favoriser le droit à l'avortement ; la France est obligée d'autoriser le changement de sexe “sur le papier” ; la Hongrie est contrainte d'abolir la prison à vie ; la Russie est sanctionnée pour avoir condamné les activistes féministes punks des Pussy Riot ; l'Autriche doit légaliser l'adoption par les couples homosexuels ; l'application de la charia en Grèce est validée. Des affaires sans lien entre elles ? Au contraire. Chaque fois, c'est la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) qui dicte sa loi à un pays européen. Chaque fois, une ONG liée au réseau de l'Open Society Foundations (OSF) est impliquée dans l'affaire. Chaque fois, l'un des magistrats qui prononcent le jugement est un ancien collaborateur de l'OSF ou de ses affiliées. Chaque fois, la sentence porte la marque de George Soros. » (cf. valeursactuelles.com) «Nous avons identifié sept ONG étant à la fois actives à la Cour et comptant des juges parmi leurs anciens collaborateurs. Au moins 22 juges, sur les 100 ayant siégé depuis 2009, sont d’anciens collaborateurs ou dirigeants de ces sept ONG. Parmi celles-ci, le réseau de l’Open Society se distingue par le nombre de juges qui lui sont liés (12) et par le fait qu’il finance les six autres organisations identifiées dans ce rapport.» (cf.artofuss.blog) |
La contamination des esprits ayant pour origine les Etats-Unis, où certains profs en viennent à purger les textes classiques comme "L’Odyssée d’Homère", en France, c’est Molière qu’on assassine. Sous prétexte que la langue de ce dernier est devenue trop difficile pour nos écoliers d’aujourd’hui, on réécrit ses textes pour les rendre «plus accessibles» (sic).
C’est aussi le massacre de la langue française par l’écriture inclusive, que certains veulent imposer. C’est une fois de plus un nivellement par le bas qui touche actuellement presque tous les domaines, et qui porte à la soumission à la bien-pensance.
|
![]()
|
La censure pudibonde qui venait il y a quelques années de la droite, est maintenant non-seulement du fait de la gauche, mais s’est amplifiée au point de n’être plus qu’une véritable chasse aux sorcières. L’inculture fait force de loi. Fini l’humour. Tout est pris au premier degré. On ne peut plus avoir de discussions sur les sexes, races, comportements apolitiques. Tout relève d’un pseudo politiquement correct qui nie le droit à la liberté d’expression pourtant présente dans l’article 11 de la déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789, déclaration dont ne cessent de se repaître les gouvernements «démocratiques» depuis des années. Une utopie destructrice de races, de beautés, de fiertés, de valeurs réduites à néant par une fuite en avant d'un système illégitime qui ne reconnait pas la méritocratie mais uniquement les copinages et les passe-droits. Comme des millions d'autres humains, résidus de cette infâme déclaration des droits de l'homme et du citoyen qui a accouché entre autres de la constitution de la Ve République, de cette démo-crassie puante qui, plus de deux cent ans après et sous prétexte d'égalité, n'a toujours pas été capable d'empêcher des gens de crever de faim et de froid dans les rues, continue de faire croire aux gens qu'ils sont intelligents, libres, égaux et fraternels … quand ils votent, et que le travail est une finalité dans la vie au lieu de la recherche du bien-être. Il y a nombre de proverbes de Mongolie jusqu’en Europe, entre «Qui boit l'eau d'une terre étrangère doit en suivre les coutumes», et «Si tu es à Rome, vis comme les Romains ; si tu es ailleurs, vis comme on y vit», qui ont perdu de leur sens. Car il semblerait qu’en France aujourd’hui, il faille vivre comme au Magreb, et battre sa coulpe car l’arrière-arrière-arrière-grand-père de la voisine qui est une copine, était esclavagiste. |
En France en 2003, certains émigrés dénonçaient avec plus de clairvoyance que certains français les dangers de l’immigration. Ce que nous dénoncions depuis plus d'une trentaine d'années, ce n’étaient, non pas "d'horribles fascistes" comme moi qui en faisaient le constat, mais des émigrés eux-mêmes qui en prenaient conscience à la lueur de leur propres expériences. |
![]()
|
Ainsi, Fatou Diome avec «Le ventre de l'Atlantique», où celle-ci tirait la sonnette d'alarme en mettant en garde les candidats à l'immigration contre les mirages de l'Europe. Et si nous ne pouvons pas accepter certaines dérives de l’immigration actuelle, et encore moins l'immigration sauvage, il est par ailleurs intolérable de ne pas reconnaitre l'apport historique des tirailleurs Sénégalais (qui rappelons-le est un terme générique regroupant diverses origines Africaines) ainsi que les indochinois, harkis et autres combattants «étrangers». A ce propos, certains nationaux et nationalistes français devraient même être en première ligne pour cela ; être les gardiens de la mémoire de ceux qui ont aidé leurs propres grands-parents à se défendre contre «l'ennemi» lors de la première guerre civile Européenne de 14/18, et aient permis à ceux-ci de survivre et de procréer afin de pouvoir engendrer paradoxalement, au fil des générations, certains racistes qui composent leurs rangs.
Non, la France n'est pas un pays raciste ; la France est aussi composée de racistes (de toutes couleurs) comme le sont tous les pays. Et plus de deux cent ans de démo-crassie et de fumisterie de droits de l'homme n'ont rien pu faire pour améliorer quoique ce soit dans les mentalités de l'être humain. C’est l’être humain qui est comme ça. |
« J'adhérerais à SOS-racisme quand ils mettront un S à racisme. Il y a des racistes noirs, arabes, juifs, chinois, et même des ocres-crèmes et des anthracites-argentés. Mais à SOS-machin, ils ne fustigent que le Berrichon de base ou le Parisien-baguette ». Pierre Desproges |
![]()
|
![]()
|
Le racisme n’est pas l’apanage des blancs. Et il a plusieurs visages ; il peut être ethnique, religieux, sociétal, discriminant, etc., et concerner tout le monde : noirs / arabes / indiens / chrétiens / asiatiques / musulmans / juifs / blancs … aussi interchangeables qu’un Rubik's cube. Le racisme c’est tout ce qui est nié par l’autre. C’est entre tous ceux qui ne tolèrent pas les autres à cause de leur couleur de peau, et pas seulement. Pour certains noirs «les Camerounais sont les Belges de l’Afrique !». Par contre, ça rigolait moins entre Hutus et Tutsis ; pourtant ce n’était pas des asiatiques contre des peaux-rouges. |
C’est une constance chez l’être humain et ses préceptes démocratiques à géométries variables : plus il a peur, plus il est lâche, et plus il a tendance à s’en prendre aux minorités. Je ne ferai même pas référence au système nazi, puisque celui-ci était en parfait accord avec les juifs sionistes. |
![]()
|
Et en matière de sexe, cochez votre case. Car si vous n’êtes pas simplement hétérosexuel, homosexuel, ou bisexuel, la nouvelle société mise en place par le Nouvel Ordre Mondial a ouvert la boite de pandore à la reconnaissance de la diversité des sexes : la communauté gay qui avait déjà pris comme appellation LGBT pour «Lesbienne, Gay, Bisexuel, Transsexuel», s’est transformée en LGTB+ pour englober les «Queers, Intersexes et Asexuels.» Les mots et expressions «pansexualité, transidentité, genre fluide, intersexe, agenre, non-binaire, demisexuel» ont aussi trouvé leur place. Bref, 50 nuances de sexe qui font florès auprès d’une génération en quête d’identité, et qui ne retrouve plus de repères que dans l’hyper-individualité. Accentué par Covid interposé, un monde où tout le monde se méfie de tout le monde, où il est interdit de se côtoyer, de se fréquenter, de se toucher, et, paradoxalement, où l’on est obligé d’être masqué pour pouvoir entrer dans une banque ou une bijouterie. Y’a pas un problème là ? ! Entre confinements, couvre-feux, états d’urgence, fichages et passeports sanitaires qui se profilent à l’horizon, la peur dirige le pays. Et la répression politique ciblée ne s’abat que sur «l’extrême-droite» ; comme la dissolution de Génération Identitaire qui pourtant n’avait eu que pour seuls agissements, de faire leur devoir de citoyens en alertant la population sur les dangers de l’islamisme galopant. Ceci en occupant le chantier d’une mosquée, ou en déployant des banderoles sur une CAF et autres bâtiments, ainsi qu’à la frontière franco-italienne. Woouuuaaaahh ! Des banderoleeeeuuuhhh. P’tain; le danger pour la république ! ! ! Par ailleurs, le mandat de Macron a été marqué par les diverses violences d’extrême gauche qui ont occupé des facs, des églises; les violences des black blocs sans que les policiers n’interviennent, l’extrême-gauche indigéniste qui organise des camps racisés et qui empêche de force les réunions ou les expositions qui ne leur plaisent pas, sans que l’état n’y trouve à redire. Et pourquoi par exemple, dans notre beau système démocratique, on stigmatise les Roms ? Bon, faut dire aussi, qu’en Roumanie, même les roumains ne supportent plus certains de leurs congénères. Mais c’est surtout qu’ils sont moins nombreux que les bandes de diverses origines majoritairement immigrées qui sont la terreur de nos petits flics, magistrats et politiques. Car pour ce qui est de l’envoi des forces de l’ordre, il est plus facile de s’attaquer à une population visible de 15 000 personnes qui défraient l’actualité de temps en temps, que de mettre dehors 200 000 individus virulents et dangereux, qui au quotidien tiennent des zones de non-droit.
Personnellement, je me réserve le droit d'aimer ou de ne pas aimer qui je veux. Je suis «raciste» car j'aime les races. J'aime leurs particularités, leurs différences physiques, culturelles et religieuses ; c'est justement ces différences qui permettent les échanges. Je n'ai pas envie que tout le monde se ressemble, pense la même chose, aie la même tête. Il y a inégalité des races sur certaines particularités - sinon les différences ne ressortiraient pas - mais il n'y a pas de supériorité d'une race sur une autre ou sur les autres. |
L'essentiel est en l'homme ; et c'est en cela que le fascisme y trouve toute sa signification. |
![]()
|
(1) 4 novembre 2013. Extrait de ma lettre ouverte à madame Taubira : « Vous aviez commencé en politique en vous élevant contre la France et ses institutions car vous vous sentiez plus guyanaise que française. Etant Normand, comme je vous comprends. Mais si vous venez chouiner sur un prétexte raciste, c'est que votre race ne vous mérite pas. Des hommes à travers l'histoire comme Marcus Garvey, Stokely Carmichael, ou de nos jours Kémi Séba, n'ont pas passé leur temps à se lamenter eux. Ils sont noirs, fiers, et se sont battus et se battent; non pas comme vous en étant une indépendantiste éphémère lorgnant sur ses privilèges, mais avec la fierté d'un idéal, et de ceux qu'ils représentent. |
![]()
|
«Christiane Taubira déclare sans ambages qu'il ne faut pas trop évoquer la traite négrière arabo-musulmane pour que les "jeunes Arabes" "ne portent pas sur leur dos tout le poids de l'héritage des méfaits des Arabes".» L’Express du 4 mai 2006 |
![]()
|
(2) L’armée française a perdu depuis janvier 2013, 55 militaires ; et en 2018, Matignon estimait à 100 000 le nombre de Maliens régulièrement installés en France, tandis que plusieurs spécialistes avançaient qu’ils seraient au moins autant en situation irrégulière. |