Patrick Balkany, après avoir déclaré "J'ai commencé la politique avec ma femme, nous étions riches. On la finit pauvres", relativisant en cela la notion de pauvreté, affirme à présent "avoir l'impression qu'on fait le procès des Juifs qui après la Libération ont pris leurs dispositions". |
Eric Dupond-Moretti, et Patrick Balkany |
Ah, il y avait longtemps que certains n'avaient pas crié à l'antisémitisme ( En France, oh oui, au moins ... quelques heures ^^ ). Balkany a fait le "Shoah" de remettre un shekel dans la machine en chouinant sur la spoliation de sa "communauté". Répugnant. Remarquons quand même que celui-ci parle d' "après la Libération"; ce qui est d'autant plus savoureux qu'il ne se plaint pas de leur situation, ni AVANT, ni PENDANT la guerre. À l'époque, son père Gyula Balkány était spécialisé dans les faux-papiers; le fils lui, a choisi de sévir dans les fausses factures ... hérédité quand tu nous tiens !
Petit rappel d'un de mes écrits au sujet des biens juifs ...
J’ai du mal à comprendre dans les affaires des biens juifs, la mesquinerie de ces derniers. (1) Tous les jours, des milliers de personnes en France et à travers le monde sont parfois obligés de gager leurs biens quand ils se trouvent en difficulté, sans que leurs vies soit en péril. Difficultés qui ne sont pas toujours surpassées, et qui amènent à terme la vente de leurs biens. On ne trouve là rien à redire ! Pourquoi en serait-il autrement pour les juifs ? D’autant plus que leurs « difficultés » en question, à l’époque, n’étaient ni plus ni moins que leur survie. Lorsqu’il a fallu qu’ils sauvent leur peau, ils n’ont alors eu aucun problème à se dessaisir de ces biens matériels, car ils considéraient à l’époque que leurs vies valaient bien plus ; Ils ont choisi en toute connaissance de cause. Est ce par humilité qu’ils reconnaissent aujourd’hui qu’ils avaient surévalué leurs vies ? ... humilité ou estimation tardive ?
(1) quand ces biens ont été vendus ; il est évident que pour ceux qui ont été volés, c’est autre chose. |