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  • : AMERZONE
  • : Ce blog réunit mes écrits depuis des années sur divers sujets : actualité, politique, fascisme, religion, sexe, amitié, sous forme de pamphlets, d' articles, de nouvelles et de poèmes. Il est mis à jour régulièrement. Bon voyage dans mon univers !
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17 décembre 2006 7 17 /12 /décembre /2006 15:53
 
Femmes je vous aime
vivantes et pleines;
pleines de cette vitalité que vous portez en vous,
de la jeunesse des fleuves de vos corps
se changeant en torrents,
dans le compartiment d'un train
ou dans un sentier forestier.
Naviguant entre vos seins et vos cuisses
plongeant dans vos bouches,
- bouffées de sensations bucoliques -
m'enivrant de vos caresses
sensuelles et impudiques,
oubliant dans les jeux de l'amour
votre réserve affichée le jour.
A vous toutes femmes aimées
espagnoles, asiatiques,
réunionnaises, kabyles ou françaises,
de confessions catholiques ou païennes,
juives ou musulmanes;
à vous que j'ai eu pour compagnes
pour deux nuits, trois mois ou un an,
aimées d'amour,
ou aimées d'amitié,
rarement simplement désirées.
Que vous ayez été femmes de caractère
en jean-basket genre garçonnes
ou lycéennes en tailleur et talons hauts,
aux sentiments volcaniques,
je vous ai aimées.
De la cuisine à la salle de bains
en passant par l'incontournable chambre à coucher;
dans de profonds canapés
ou sur des chaises de bureau,
avec mon corps et mon esprit
je vous aime ...
A vous petites bourgeoises maniérées
ou baba-cool déjantées,
à l'extérieur débordantes de vie,
transformées en petites filles au lit.
Vous aux lignes harmonieuses
des formes rebondies de vos corps
et vous, minces comme des lianes;
à toi, vendeuse de soutiens-gorge
à la gorge désenchantée,
à toi prof new-look
en minijupe et bas résilles,
à toi la petite " Curiste "
à qui je prêtais un semblant de coeur,
alors que c'était ton coeur qui faisait semblant.
A vous, blondes incendiaires
parfois réservées, genre dentellières;
à vous brunes piquantes
aux yeux profonds comme des puits
où scintilleraient les étoiles de la nuit.
A vous toutes que je retrouve en ma mémoire
pour vous coucher, avec tendresse,
une dernière fois sur le papier.
A vous toutes, à votre douceur,
votre gentillesse, votre simplicité,
même à vos colères ou vos lâchetés parfois;
aux saveurs boisées de vos corps adulés,
dans des positions classiques où kama-sutriennes.
A celles à qui j'ai offert mille soleils
et des pluies d'étoiles,
muses de toujours, je porterai en mon âme
le souvenir de vos corps,
de vos souffles, de vos cris,
et bien après ma mort,
femmes, je vous aimerait encore ...
 
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